Private Equity : définition, fonctionnement et acteurs clés

fonctionnement private equity

Le private equity est un large univers où les investisseurs sortent des sentiers battus pour financer des entreprises non cotées en bourse. Loin de la volatilité des marchés publics, ce secteur offre des opportunités uniques de transformer des entreprises et de générer des rendements impressionnants ! Mais comment fonctionne réellement le private equity, et qui sont les acteurs qui animent cette industrie en pleine expansion ?

Dans cet article :

Définition du Private Equity

Le Private Equity, littéralement "capital privé", désigne un type d’investissement où des fonds sont injectés directement dans des entreprises non cotées en bourse.

En clair, au lieu d’acheter des actions de grandes entreprises sur des marchés publics comme la Bourse, les investisseurs en private equity ciblent des sociétés souvent plus petites, parfois en difficulté, ou encore des start-ups avec un fort potentiel de croissance. 

Mais attention, ce n’est pas juste une histoire de signer un gros chèque ! Le private equity, c’est aussi une question d’accompagnement stratégique.

Les investisseurs ne se contentent pas d’injecter de l’argent et de croiser les doigts : ils apportent leur expertise, restructurent l’entreprise si nécessaire, et l’aident à atteindre ses objectifs, souvent avec une vision sur plusieurs années. 

Pour résumer de façon simpliste, le private equity, c’est un peu comme si l'entreprise s'équiper d'un coach.

Le but du coach (donc de l'investisseur) est le suivant : on investit, on booste sa performance, et, une fois qu’elle est au top de sa forme, on revend ses parts (généralement avec une belle plus-value à la clé).

Vous voyez le fonctionnement ?

On mise sur des sociétés qu’on croit capables de faire un bond en avant, tout en leur donnant un sérieux coup de main pour y arriver. 

Donc le private equity, c’est ça : un savant mélange d’investissement, de stratégie et d’accompagnement.

Fonctionnement du Private Equity

Le private equity, c’est un monde fascinant où l’argent ne dort jamais. Mais concrètement, comment ça marche ? Pas de panique, on vous explique tout !

Étape 1 : lever des fonds  

La levée de fonds est l’une des étapes les plus stratégiques et cruciales dans le processus de private equity.

C’est là que tout commence, et il faut savoir jouer finement pour convaincre les investisseurs de confier leurs capitaux. Voici comment ça se passe en détail.

Qui lève les fonds ?

Ce sont les sociétés de gestion d’actifs, souvent appelées GPs (General Partners), qui prennent l’initiative.

Ces sociétés sont composées d’experts en investissement, généralement issus de la finance ou de l’entrepreneuriat.

Leur mission : monter un fonds d’investissement en séduisant des investisseurs potentiels avec un projet clair et un historique solide (quand ils en ont un).

Consultez cet article si vous souhaitez en savoir plus sur les sociétés de gestion.

À qui s’adressent-elles ?

Les GPs ciblent des investisseurs institutionnels, qui représentent la majorité des capitaux injectés dans les fonds de private equity.

Voici la plupart des acteurs typiques :  

  • Fonds de pension : ces structures cherchent des rendements stables et élevés pour financer les retraites.  
  • Compagnies d’assurance : elles allouent une partie de leurs actifs à des investissements privés pour diversifier leurs portefeuilles.  
  • Family offices : des structures privées gérant les patrimoines de grandes fortunes familiales.  
  • Banques et fonds souverains : souvent intéressés par des projets de grande ampleur.  
  • Particuliers fortunés : appelés High Net Worth Individuals (HNWI), ils représentent une plus petite proportion mais restent une source non négligeable.

Combien d’argent est levé ?

Cela dépend de la stratégie et de la réputation de la société de gestion.

Un petit fonds peut lever quelques dizaines de millions d’euros, tandis que les mastodontes du secteur (comme Blackstone ou KKR) lèvent des dizaines de milliards.

Par exemple, en 2022, le fonds Blackstone Real Estate Partners X a levé plus de 30 milliards de dollars, un record dans le secteur.

Les défis de la levée de fonds

Lever des fonds n’est pas une mince affaire, surtout pour une jeune société de gestion qui n’a pas encore fait ses preuves. Les obstacles y sont courants :

  • Concurrence féroce : Le marché du private equity est saturé, et les investisseurs sont sollicités de toutes parts.  
  • Crédibilité : Les GPs doivent prouver qu’ils ont les compétences pour délivrer les rendements promis.  
  • Engagement long terme : Les investisseurs savent que leur argent sera immobilisé pendant 7 à 10 ans, ce qui rend la décision d’autant plus réfléchie.

Étape 2 : Identifier des opportunités  

Une fois les fonds levés, les sociétés de gestion (GPs) entrent dans une phase clé : la recherche des entreprises dans lesquelles investir.

C’est un travail qui demande autant de flair que de rigueur, et qui peut parfois s’étendre sur plusieurs mois. Voici comment les opportunités sont dénichées et évaluées en détail.

La stratégie d’investissement : un cap clair

Avant même de chercher des entreprises, les GPs ont déjà défini une stratégie d’investissement. Tout cela va guider leurs recherches et éviter de disperser leurs efforts.

Parmi les critères principaux, nous pouvons citer :

  • Le secteur d’activité : startups technologiques, santé, immobilier, énergie, etc.
  • La taille des entreprises ciblées : PME, ETI, ou grandes entreprises.
  • Le cycle de vie : entreprises en démarrage (capital-risque), en croissance (capital-développement) ou en difficulté (capital-retournement).
  • La géographie : certains fonds se concentrent sur des régions spécifiques, comme l’Europe, l’Asie ou les États-Unis.

Cette stratégie sert de feuille de route pour évaluer quelles entreprises correspondent au profil recherché.

Où chercher ? Les sources d’opportunités

Les GPs utilisent plusieurs canaux pour repérer des entreprises intéressantes :

  • Réseaux professionnels : Les fonds de private equity entretiennent des relations avec des banquiers d’affaires, avocats spécialisés, et cabinets de conseil qui leur présentent régulièrement des opportunités à saisir.
  • Banques d’investissement : Elles jouent un rôle capital dans les opérations de fusion-acquisition (M&A) et peuvent proposer des entreprises à vendre.
  • Marché secondaire : Les fonds rachètent parfois des parts détenues par d’autres investisseurs en private equity.
  • Approches directes : Certaines sociétés de gestion prennent l’initiative de contacter directement des entreprises qui les intéressent, souvent celles qui montrent un fort potentiel mais qui ne cherchent pas activement d’investisseurs.
  • Veille sectorielle : Une analyse constante des tendances de marché permet d’identifier des secteurs en forte croissance ou des entreprises sous-évaluées.

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D'autres intermédiaires existent en Private Equity : ceux qui font la liaison entre les fonds et les investisseurs, leur rôle est de faire du conseil pour sélectionner les meilleurs fonds en fonction du profil d'investisseur. C'est le cas d'une entreprise spécialisée comme Opale Capital.

Évaluation : combien vaut l’entreprise ?

Une fois l’analyse terminée, les investisseurs déterminent la valeur de l’entreprise et la somme qu’ils sont prêts à investir. Plusieurs méthodes sont utilisées pour cette évaluation.

La première, c'est en utilisant les multiples de valorisation : on va comparer l’entreprise à d’autres sociétés similaires ayant été récemment vendues ou cotées en bourse.

La deuxième c'est le DCF (Discounted Cash Flow), on va faire une estimation de la valeur actuelle des flux de trésorerie futurs.

Enfin la 3ème c'est la méthode des actifs nets, correspondant à un calcul basé sur la valeur des actifs moins les dettes.

Étape 3 : Investir  

Une fois l’entreprise cible identifiée et validée, le fonds de private equity passe à l’action. L’objectif est d’injecter des capitaux tout en s’assurant d’avoir un maximum d’impact sur la croissance et la valorisation de l’entreprise.

La première étape consiste à structurer l’investissement.

Le fonds décide s’il prendra une participation minoritaire ou majoritaire, ou encore s’il combinera plusieurs outils financiers comme le capital et la dette.

Ce choix dépend de la situation de l’entreprise : une société en croissance rapide nécessitera principalement un apport en capital pour se développer, tandis qu’une entreprise en difficulté pourrait demander un montage financier plus complexe...

Vient ensuite la négociation des termes. On parle ici de la valorisation de l’entreprise, qui détermine combien d’actions le fonds recevra pour son investissement.

Les conditions de gouvernance sont également discutées, notamment la possibilité pour les investisseurs d’occuper un siège au conseil d’administration afin d’influencer les décisions clés.

Les clauses de sortie, c’est-à-dire la manière dont les investisseurs vont récupérer leur mise (et idéalement une plus-value), sont aussi déterminées à cette étape.

Une fois l’accord conclu, les fonds sont injectés ! Ces capitaux servent divers objectifs : développement de nouveaux produits, expansion dans de nouveaux marchés, réduction de dettes ou encore renforcement des équipes et infrastructures.

L’idée au bout est de permettre à l’entreprise de franchir un cap qu’elle n’aurait pas pu atteindre seule.

Mais en private equity, investir ne signifie pas simplement mettre de l’argent sur la table !

Les investisseurs jouent un rôle actif dans la transformation de l’entreprise : ils participent aux décisions stratégiques via les conseils d’administration, offrent leur expertise pour optimiser les processus internes, et mettent l’entreprise en contact avec des partenaires ou clients stratégiques.

Si l’entreprise est en difficulté, ils peuvent également piloter une restructuration pour réduire les coûts ou réorganiser les équipes.

Bref, un investisseur en Private Equity à un rôle à 360 degrés pour épauler l'entreprise.

Enfin, dès le départ, les investisseurs gardent en tête leur stratégie de sortie. L’objectif est de revendre leur participation avec une plus-value après avoir maximisé la valeur de l’entreprise.

Ce plan de sortie, qu’il s’agisse d’une introduction en bourse ou d’une vente à un autre investisseur, guide une grande partie des actions prises tout au long de la collaboration.

Investir en private equity, c’est donc bien plus qu’un simple transfert de capitaux : c’est un véritable partenariat stratégique avec une vision de création de valeur à long terme.

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Gardez en tête que l'investissement en Private Equity peut être réalisé sous différentes formes : actions, obligations convertibles ou dettes mezzanines (des termes techniques que vous retrouverez dans notre lexique financier).

Étape 4 : Accompagner et transformer  

C’est là que le private equity entre dans le vif du sujet. Une fois les fonds injectés, pas question de laisser l’entreprise faire son chemin toute seule. Les investisseurs deviennent des partenaires actifs, prêts à retrousser leurs manches pour transformer l’entreprise et la propulser à un niveau supérieur.

L’idée, c’est de travailler main dans la main avec l’équipe dirigeante. Les investisseurs commencent par analyser ce qui fonctionne bien (et ce qui ne fonctionne pas du tout).

Parfois, c’est une question de stratégie : l’entreprise a un bon produit, mais elle ne touche pas assez de clients. Parfois, c’est une histoire de coûts : les marges sont trop faibles parce que l’organisation interne n’est pas optimisée.

Bref, chaque cas est unique, et l’accompagnement est sur-mesure.

Les fonds jouent souvent un rôle de coach stratégique : ils apportent des conseils sur des sujets variés, comme le lancement de nouveaux produits, l’ouverture à des marchés internationaux ou même le renforcement de la marque.

Ils ne se contentent pas de donner des ordres : ils s’appuient sur leur expérience et leurs réseaux pour apporter des solutions concrètes.

Imaginez que vous soyez un jeune chef d’entreprise et qu’on vous offre un mentor hyper expérimenté : c’est un peu ça.

Dans certains cas, il faut faire des choix difficiles. Si une restructuration est nécessaire, les investisseurs accompagnent l’entreprise pour rationaliser les coûts ou réorganiser les équipes.

Ce n’est pas toujours facile, mais c’est parfois indispensable pour assurer une croissance pérenne...

Et puis, il y a le facteur humain. Les fonds s’attachent à renforcer les équipes en recrutant des talents clés.

Par exemple, si l’entreprise n’a pas de directeur financier solide ou manque d’un expert en marketing, le private equity aide à trouver les bonnes personnes.

Pendant toute cette phase, les investisseurs surveillent aussi les résultats de près. On suit les indicateurs de performance, on ajuste la stratégie si nécessaire, et surtout, on garde toujours un œil sur l’objectif final : maximiser la valeur de l’entreprise.

L’accompagnement, c’est donc un savant mélange de soutien stratégique, de rigueur financière et d’implication humaine.

Au final, cette étape est peut-être la plus enrichissante ! Les investisseurs ne se contentent pas de financer un projet : ils contribuent à écrire une nouvelle page de l’histoire de l’entreprise, tout en créant les bases pour une sortie réussie (et rentable) dans quelques années.

Étape 5 : La sortie  

La sortie, c’est le moment tant attendu où les investisseurs récoltent les fruits de leur travail.

Après avoir injecté du capital, accompagné l’entreprise et boosté sa valeur, il est temps de passer à la caisse.

Mais attention, tout n’est pas si simple : une bonne sortie se prépare dès le début, et il existe plusieurs façons de la réaliser.

Pourquoi sortir ?

Le private equity, ce n’est pas un mariage pour la vie. Les fonds investissent avec une vision à moyen terme, souvent entre 5 et 7 ans.

L’idée, c’est de vendre leur participation au bon moment, quand l’entreprise est au sommet de sa forme (ou presque), pour en tirer la meilleure plus-value possible. La sortie marque donc la fin du cycle d’investissement.

Les options pour sortir

Il existe plusieurs scénarios de sortie, chacun avec ses avantages et ses contraintes.

  • Introduction en bourse (IPO) : C’est le Graal pour beaucoup de fonds. L’entreprise devient publique, les investisseurs vendent leurs actions sur les marchés boursiers, et tout le monde applaudit. Mais l’IPO demande une préparation intense et dépend de la santé des marchés financiers.
  • Vente à un tiers : C’est probablement le plus courant. L’entreprise est vendue à un autre investisseur, un fonds plus gros, ou une société stratégique (par exemple, un concurrent ou un partenaire qui souhaite intégrer l’entreprise). Ce type de sortie est rapide et souvent rentable.
  • Rachat par les dirigeants : Les fondateurs ou l’équipe dirigeante rachètent les parts du fonds pour reprendre le contrôle total de l’entreprise. Cela arrive surtout quand les deux parties ont bien collaboré et que l’entreprise est assez solide pour financer ce rachat.
  • Recapitalisation : L’entreprise emprunte pour racheter les parts du fonds, permettant aux investisseurs de sortir tout en laissant l’entreprise indépendante.

Dans tous les cas, l’objectif est de vendre au meilleur prix. Les fonds de private equity ne sont pas là pour faire des cadeaux, mais pour maximiser leur retour sur investissement.

Quand sortir ?

Le timing est crucial. Une sortie trop tôt pourrait sous-évaluer l’entreprise, tandis qu’une sortie trop tardive peut coincer le fonds si les conditions du marché deviennent défavorables.

Les investisseurs guettent donc le bon moment, en surveillant à la fois la performance de l’entreprise et les tendances du marché.

Le bilan final

Une bonne sortie, c’est celle où tout le monde y gagne. Le fonds réalise un profit (parfois très conséquent), les investisseurs qui ont placé leur argent (les LPs) récupèrent leur part, et l’entreprise elle-même est souvent mieux positionnée pour l’avenir.

Mais ce n’est pas toujours une success story : certaines sorties se font à perte, notamment si l’entreprise n’a pas atteint les objectifs fixés ou si le marché est défavorable...

Les acteurs clés du Private Equity

Dans le monde du private equity, tout le monde joue un rôle précis. Entre investisseurs, gestionnaires de fonds et entreprises ciblées, c’est un écosystème bien organisé. On vous donne un aperçu des principaux acteurs qui font tourner cette machine.

Les investisseurs : les Limited Partners (LPs)

Les LPs sont ceux qui apportent le capital au fonds.

Ils sont de divers origines et peuvent être des institutions financières, comme des fonds de pension, des compagnies d’assurance, ou des banques, mais aussi des investisseurs privés fortunés (appelés High Net Worth Individuals ou HNWI) !

Leur rôle est simple : fournir de l’argent.

En échange, ils attendent un retour sur investissement élevé, souvent supérieur à ce qu’ils pourraient obtenir sur les marchés publics.

Ce sont les véritables catalyseurs du private equity !

Les sociétés de gestion : les General Partners (GPs)

On en parlé en début d'article, les GPs, ce sont les pros qui gèrent le fonds. Ce sont eux qui :

  • Lèvent les fonds auprès des LPs.
  • Identifient les entreprises prometteuses.
  • Décident où investir, comment restructurer et quand vendre.

Les GPs touchent généralement une commission de gestion (environ 2 % des fonds levés) et un pourcentage des profits réalisés (souvent 20 %, appelé carried interest).

Ce modèle les pousse à maximiser les performances pour satisfaire les LPs… et prendre leurs commissions !

Les entreprises ciblées : les pépites potentielles

Les entreprises qui intéressent le private equity sont de tous types : start-ups innovantes, PME en forte croissance, ou même entreprises en difficulté...

Ces sociétés ont généralement un point commun : elles ont besoin d’un coup de pouce financier et stratégique pour passer à la vitesse supérieure.

En échange de cet accompagnement, elles cèdent une partie de leur capital aux fonds d’investissement.

Les intermédiaires et conseillers

Dans l’ombre, une armée de professionnels accompagne les transactions :

  • Banques d’investissement : Elles jouent souvent les entremetteurs, en mettant en relation les fonds et les entreprises.
  • Cabinets d’audit et de conseil : Ils mènent les due diligences pour vérifier que tout est en ordre avant un investissement.
  • Avocats spécialisés : Essentiels pour structurer les deals et rédiger les contrats.

Ces intermédiaires ne sont pas toujours visibles, mais ils sont indispensables pour sécuriser chaque étape du processus.

Les grands noms du secteur

Certaines sociétés de private equity sont devenues de véritables géants, connues dans le monde entier. Parmi elles :

  • Blackstone : Leader mondial du private equity, spécialisé dans l’immobilier, les entreprises et les infrastructures.
  • KKR (Kohlberg Kravis Roberts) : Connu pour ses investissements dans de grandes entreprises.
  • Carlyle Group : Un acteur majeur avec une stratégie diversifiée.
  • Apollo Global Management : Spécialisé dans les entreprises en difficulté et les investissements complexes.

Ces noms incarnent la puissance du private equity, avec des milliards d’actifs sous gestion et une influence significative sur les marchés financiers.

Le private equity, c’est bien plus qu’un simple investissement financier. C’est une mécanique bien rodée où investisseurs, gestionnaires et entreprises collaborent pour créer de la valeur. Que ce soit pour financer l’innovation, redresser des entreprises en difficulté ou propulser des PME en croissance, le private equity est une véritable force motrice pour l’économie globale. Un univers passionnant, exigeant, mais surtout plein d’opportunités.

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Jordan Houi

Jordan Houi

Passionné par les sujets liés à l'épargne & l'investissement. Titulaire de la certification AMF. Je vous partage des solutions simples (et moins simples) pour gérer et faire fructifier votre capital.
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